« Au Pays basque espagnol, 5 spots pour en prendre plein la vue » (Le Figaro, 20 août 2024)
Pour commencer, Le Figaro nous invite à découvrir les trésors cachés du Pays Basque espagnol, souvent méconnus au profit de son voisin français.
Au-delà de la frontière, de véritables joyaux architecturaux et naturels nous attendent. Hondarribia, par exemple, est une petite cité fortifiée qui semble sortie tout droit d’un conte de fées, avec ses maisons colorées et son château transformé en Parador. Pour les amateurs de plages et de vues panoramiques, Saint-Sébastien offre une alternative chic à Biarritz, avec son célèbre mont Igeldo et sa baie de La Concha.
Les amoureux de nature seront comblés par la forêt d’Oma, une œuvre d’art à ciel ouvert où les troncs d’arbres se parent de formes abstraites et colorées. Plus au nord, la réserve d’Urdaibai est un véritable paradis pour les ornithologues et les amoureux de la nature sauvage.
Enfin, les fans de Game of Thrones reconnaîtront sans doute l’ermitage de San Juan de Gaztelugatxe, qui a servi de décor pour le rocher de Dragonstone. Ce site spectaculaire, avec ses 241 marches menant à une chapelle perchée sur un îlot rocheux, offre des vues à couper le souffle. « Gaztelugatxe » signifie « château rocheux » en basque, et l’île porte bien son nom avec ses falaises escarpées battues par les vents.
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« Au Japon, le point de vue le plus célèbre du mont Fuji de nouveau visible » (Le Figaro, 20 août 2024)
Le Figaro Voyage rapporte une nouvelle excitante pour les amateurs de panoramas majestueux : le point de vue le plus célèbre du Mont Fuji est de nouveau accessible !
Après plusieurs mois d’occultation, le célèbre panorama du Mont Fuji depuis la supérette Lawson est à nouveau accessible aux touristes. Cette décision fait suite à la mise en place d’une bâche destinée à réguler les flux de visiteurs et à lutter contre les comportements incivils. « Nous voulions voir ce qui se passerait », a déclaré un responsable de Fujikawaguchiko à l’AFP.
Si la bâche a temporairement permis de réduire les nuisances causées par les touristes les plus indisciplinés, les autorités locales ont choisi de lui donner une nouvelle chance. « Il y a encore des gens qui viennent à cet endroit. Mais nous ne voyons plus beaucoup de gens se précipiter soudainement dans la circulation pour traverser la route », a indiqué un responsable. Néanmoins, la ville se réserve le droit de réinstaller la bâche en cas de récidive des comportements irrespectueux.
Ce cas illustre les défis posés par le tourisme de masse, notamment dans des sites naturels emblématiques. La ville de Fujikawaguchiko a été confrontée à un dilemme : concilier l’attrait touristique d’un site exceptionnel avec la préservation de la qualité de vie des habitants et du patrimoine naturel. Cette situation résonne bien au-delà des frontières japonaises, car de nombreuses destinations touristiques sont confrontées à des problématiques similaires.
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« Le Danemark, une destination touristique de plus en plus populaire » (Euronews, 20 août 2024)
Alors que le sud de l’Europe suffoque sous les canicules, Euronews constate que le Danemark connaît un véritable boom touristique. « Nous sommes ici pour les vacances, car il fait très chaud en Grèce en ce moment, » explique Konstantinos, un visiteur grec. Attirés par des températures plus douces et de longues journées ensoleillées, de plus en plus de touristes du sud quittent leurs pays pour découvrir les charmes du Danemark.
Les longues soirées d’été et les paysages verdoyants du Danemark offrent un cadre idéal pour échapper à la chaleur. « Au plus fort de l’été, pendant le solstice, le soleil ne se couche pas avant 22 heures, » souligne l’article d’Euronews. Le pays scandinave séduit par son climat tempéré, ses espaces naturels préservés et sa qualité de vie.
Les professionnels du tourisme danois se réjouissent de cet afflux de visiteurs. « Quand vous voyez tous les incendies en Grèce et ainsi de suite. C’est un contexte tragique. Mais bien sûr, nous sommes heureux de vous proposer de venir vous rafraîchir pendant quelques semaines ici dans le nord et de découvrir notre belle nature et notre culture, » déclare Martin Bender, PDG de Visit Sydsjælland & Møn. Outre le climat, la gastronomie et la culture danoises seraient, d’après l’article, également des atouts majeurs pour attirer les touristes.
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« Pourquoi les touristes boudent-ils la Grande-Bretagne ? » (GÉo, 21 août 2024)
GÉO examine la baisse d’attractivité de la Grande-Bretagne comme destination touristique, un phénomène causé par une confluence de facteurs économiques et politiques.
Selon une étude du Centre for Economics and Business Research (CEBR), relayée par le magazine GÉO, le Royaume-Uni voit sa fréquentation touristique décliner depuis quelques années. Alors que la France et l’Espagne battent des records, la Grande-Bretagne peine à retrouver son lustre d’antan. Les raisons de ce désamour sont multiples : un coût de la vie exorbitant, une perception moins positive de l’accueil et des formalités d’entrée plus contraignantes depuis le Brexit.
Le prix des hôtels, des restaurants et des transports a considérablement augmenté au Royaume-Uni, le rendant moins compétitif face à ses voisins européens. « La Grande-Bretagne est toujours bien classée pour son histoire et son patrimoine, mais les perceptions ne sont pas aussi fortes pour sa beauté naturelle et son accueil », déplore Patricia Yates, PDG de VisitBritain. Cette perception négative, couplée à des tarifs élevés, dissuade de nombreux voyageurs.
Les nouvelles règles d’entrée en vigueur depuis le Brexit ont complexifié les voyages pour les touristes européens. « Les visiteurs viennent, mais ils passent moins de temps dans le pays et dépensent moins d’argent ici », constate Joss Croft, PDG d’UKInbound. Pour redresser la situation, le gouvernement britannique devra revoir sa politique touristique et faciliter les formalités d’entrée, notamment en signant un accord de mobilité avec l’Union européenne.
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« Taylor Swift ou Star Trek ? Le grand boom des croisières thématiques » (GÉO, 21 août 2024)
Qui aurait cru que les paquebots attireraient un public aussi jeune et diversifié ? C’est pourtant la tendance observée par le magazine GÉO. Fini les clichés des séjours ennuyeux, les croisières se transforment en véritables festivals flottants. De Taylor Swift à Star Trek, en passant par des croisières religieuses, les compagnies rivalisent d’ingéniosité pour séduire une clientèle de plus en plus exigeante.
« À contre-courant de toute logique écologique, les croisières sont de nouveau à la mode », souligne ainsi le magazine GÉO. Alors que ces géants des mers sont pointés du doigt pour leur impact environnemental, les voyageurs semblent prêts à fermer les yeux pour vivre des expériences uniques. En 2024, ils seront probablement 35,7 millions à embarquer sur un paquebot, une augmentation de 6% par rapport à 2019.
Si ces croisières thématiques offrent une multitude de possibilités, elles ne sont pas sans coût. Ces voyages haut de gamme s’adressent à une clientèle aisée, prête à dépenser des sommes importantes pour vivre des expériences exclusives. Un phénomène qui interroge sur notre rapport à la consommation et à l’environnement.
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